Portfolio de Dasek Joiakim - Semestre 4
Semestre 3
P10

Compétence P10

Etre capable de choisir et de défendre une méthode de gestion de projet (traditionnelle ou agile) selon le type de projet puis de conduire un projet simple avec la méthode choisie

Projets

Pour le projet Koloka ainsi que le projet AKTS, la méthode agile était la plus adaptée. En effet, les projets étaient de petite taille et les besoins changeaient souvent. De plus, les projets étaient des projets de développement logiciel, ce qui est un domaine où la méthode agile est très utilisée.

Etant étudiant et ne sachant pas exactement définir un lapse de temps pour développer une fonctionnalité, ainsi que le fait que le Product Owner est lui même un étudiant de la BTA. L'agilité est un point de compétence que nous avons développé durant notre formation.

Pour AKTS, le projet est un sujet d'expérience dont le client n'était pas sûr qu'il soit réalisable, finalement nous avons parvenu à réaliser le projet. La méthode agile est dans ce contexte, pertinente. J'ai du effectué beaucoup de recherche pour développer certaines User Stories, ce qui a eu de l'influence sur le temps à réaliser les fonctionnalités.

Les weekly meeting pour ces deux projets étaient très importants, car ils permettaient de faire un point sur les avancements et de définir les prochaines tâches à réaliser.

Nous avons utiliser Jira tout au long des projets et fait des tournus de rôles.

Lecture individuelle

J'ai effectuer une lecture individuelle sur les Framework agile, Scrum en l'occurrence. J'ai pu apprendre aussi quels sont les problématiques récurrentes à éviter lors d'un projet agile. Voici les points que j'ai retenu :

  1. Manque de communication claire : Une communication inefficace au sein de l'équipe et avec les parties prenantes peut causer des malentendus et des décalages entre les besoins et les livraisons.

  2. Réticence au changement : Les membres de l'équipe, ainsi que les parties prenantes, peuvent montrer de la résistance aux ajustements agiles nécessaires, surtout s'ils sont habitués à des méthodes plus traditionnelles.

  3. Définition des rôles et des responsabilités floues : Les rôles au sein d'une équipe Scrum, tels que le Product Owner et le Scrum Master, doivent être clairement définis et compris par tous pour éviter les conflits et la confusion.

  4. Gestion inefficace du Product Backlog : Sans une gestion et une priorisation efficaces du backlog, l'équipe risque de travailler sur des tâches non essentielles, gaspillant ainsi des ressources et du temps précieux.

  5. Pratiques d'ingénierie médiocres : L'absence de bonnes pratiques d'ingénierie telles que l'intégration continue et le Test-Driven Development (TDD) peut compromettre la qualité du code et la maintenabilité du système.

La lecture individuelle sur le guide de survie du chef de projet est plus axée sur la gestion de projet traditionnelle :

La méthode traditionnelle s'articule autour d'une planification rigoureuse et d'une structure hiérarchique des tâches. Elle est caractérisée par une forte dépendance aux documents, une importance capitale accordée aux spécifications détaillées, et un périmètre de projet généralement fixe. Les avantages de cette méthode résident dans sa nature prédictive, qui permet une compréhension claire des livrables, des coûts et du calendrier du projet dès le début.

Dans ma réflexion, j'ai identifié des situations où cette méthode traditionnelle serait plus appropriée par rapport à l' approche agile :

  1. Projets avec des exigences et des réglementations strictes : Des industries comme l'aérospatiale, la construction et la pharmaceutique, où le respect rigoureux des normes et réglementations est critique, bénéficient d'une approche planifiée.

  2. Stabilité des besoins du projet : Lorsque les besoins du client sont bien définis et peu susceptibles de changer, la méthode traditionnelle offre un cadre stable permettant de se conformer à ces exigences spécifiques.

  3. Grande échelle et complexité : Pour des projets d'une envergure considérable impliquant de nombreux sous-traitants et parties prenantes, les procédures formelles et les phases de validation du modèle traditionnel s'avèrent essentielles.

  4. Tranfert de connaissances et documentation : Des projets qui requièrent une documentation détaillée pour le transfert de connaissances (par exemple pour la maintenance et le support) tirent profit de la documentation extensive encouragée par cette approche.

  5. Risques et budgétisation : Dans les cas où la budgétisation est serrée et le risque élevé, la méthode traditionnelle permet d'effectuer une estimation plus précise des coûts et une gestion plus minutieuse des risques.

Connaître et savoir utiliser différents outils de créativité permettant des idées « out-of-the-box »

Outils de créativité

Il m'arrive régulièrement lorsqu'une User story est complexe, de faire une repréentation schématique de la solution technique. Cela me permet de mieux comprendre le problème et de trouver des solutions.

Par exemple, pour la création du système de messagerie sur Koloka, j'ai réalisé un schéma représentant les différentes blocs du système et les interactions entre eux :

Workflow Koloka

Eraser

J'utilise Eraser (opens in a new tab) pour réaliser des diagrammes et des graphes. C'est un outil utiles pour exprimer rapidement une idée en schématisant.

Eraser

Brainstorming

Face à une tâche délicate, je m'engage souvent dans un brainstorming pour débloquer de nouvelles solutions. Cette technique de créativité consiste à générer un maximum d'idées en peu de temps, et c'est une méthode que j'apprécie particulièrement pour stimuler la réflexion collective au sein de l'équipe. Voici comment je procède :

  1. Définition du problème : Je commence par définir clairement le sujet ou le problème à résoudre, afin que chacun comprenne l'objectif du brainstorming. Cette étape est cruciale pour orienter correctement la session.

  2. Production d'idées : Je lance le brainstorming, en encourageant chacun à exprimer librement ses idées, quelle que soit leur originalité. Je mise sur la quantité plutôt que sur la qualité à ce stade.

  3. Collecte des idées : Je note toutes les idées émises sans exception. Parfois, je les écris sur des post-its ou les inscris sur un tableau visible par tous.

  4. Organisation des idées : Une fois la session de brainstorming terminée, je trie et classe les idées avec l'équipe. Je regroupe les suggestions similaires et j'élimine les doublons.

  5. Évaluation et sélection : Enfin, on passe en revue les idées pour évaluer leur faisabilité et leur pertinence par rapport au problème de départ. On sélectionne ensemble celles qui semblent les plus prometteuses pour les explorer plus en détail.

Au final on arrive à l'image du schéma de la fonctionnalité de messagerie.

Lecture individuelle

Lors de la lecture individuelle sur le design thinking, plus particulièrement le Creative Design Branding. Cela m'a permis d'acquérir une série de connaissances et de compétences essentielles pour la gestion des marques et la créativité dans le domaine du marketing et de la communication.

Gérer les problèmes dans une petite équipe de projet

Projet

Lors du projet AKTS, un conflit est survenu, menant à une rupture de communication entre deux membres de l'équipe. Il est devenu primordial de régler ce conflit, car il a eu un impact sur la productivité de l'équipe. Nous avons donc convenu d'une réunion pour discuter du problème et trouver une solution. Nous avons pu identifier les causes du conflit et les résoudre. Nous avons ensuite adapté notre contrat d'équipe pour éviter que ce genre de situation se reproduise.

Voici les notes de la réunion :

Article réflexif

J'ai rédiger un article réflexif sur comment stimuler la motivation d'une équipe de projet . Cette problématique a été soulevée lors du projet Koloka, car l'équipe a connu une baisse de motivation. Dans cet article je présente un plan d'action pour stimuler la motivation de l'équipe.